Après ce petit parcours champêtre nous nous sommes dirigées vers la Kilmainham Gaol, l'ancienne prison de Dublin construite en 1796 (http://en.wikipedia.org/wiki/Kilmainham_Gaol). Cette prison était moderne pour l'époque puisque c'est la première à avoir des cellules pour une personne, même si finalement il y avait jusqu'à 5 personnes par cellule (dans les 6m carré) vu le nombre d'arrestations, sans doute y avait-il un sarko irlandais à l'époque...

D'ailleurs quand tu visites le musée de la prison (ils ont gardé les registres) tu hallucines un peu de savoir qu'un mec s'est pris un mois de taule car il a volé une pomme ou que le plus jeune prisonnier avait... 5 ans, un "sans-papier". C'est aussi ici que les anglais faisaient le "tri" des Irish qu'ils envoyaient en Australie.
La seule chose qui nous a un peu choquées avec Val ce sont les gens qui visitent et qui ne peuvent s'empêcher de laisser une trace de leur passage en gravant sur les murs. Vous serez donc heureux d'apprendre que des Polonais ont visité le "couloir de la mort" en 2006... Et le respect dans tout ça !!!!
Après moi j'ai trippé sur cette photo:
cette balance s'intitule "la condition humaine" et je pense qu'elle peut résumer pas mal de choses et comportements en tout genre en effet (torture, masochisme, dindes...). mais moi elle m'a surtout fait penser aux opiacés, et oui on ne se refait pas...
Juste que pour moi ça exprime bien le paradoxe de la morphine mais aussi son cercle vicieux: en gros tu as mal donc tu prends de la morphine, mais ça te fait du bien alors tu en prends encore plus et puis quand tu es addict tu as une hyperalgie (mal pour des stimulus sans douleur). Tout est une affaire de dose finalement, trouver l'équilibre... Je renommerais donc cette balance "la morphine ou quelle limite ?" Voilà, désolée pour ce craquage pharmacologique qui ne vous intéresse pas forcément et qui n'est pê pas très clair mais pour moi c'est venu comme une évidence alors je m'exprime !!! Et le NPFF dans tout ça ????
Juste que pour moi ça exprime bien le paradoxe de la morphine mais aussi son cercle vicieux: en gros tu as mal donc tu prends de la morphine, mais ça te fait du bien alors tu en prends encore plus et puis quand tu es addict tu as une hyperalgie (mal pour des stimulus sans douleur). Tout est une affaire de dose finalement, trouver l'équilibre... Je renommerais donc cette balance "la morphine ou quelle limite ?" Voilà, désolée pour ce craquage pharmacologique qui ne vous intéresse pas forcément et qui n'est pê pas très clair mais pour moi c'est venu comme une évidence alors je m'exprime !!! Et le NPFF dans tout ça ????
2 commentaires:
Mais le NPFF, ça n'existe pas!!!!!
tu te rends compte que tu viens de m'ouvrir les yeux sur la réalité de la vie !!! même si on m'avait déjà plus ou moins prévenu (mais je n'ai aucune confiance dans les moustachus communistes) c'est horrible...
Heureusement que le Papa Noël existe pour adoucir ce monde de brutes !!!!
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